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Par Pascale MD le 14 Mars 2019 à 00:01
Je vous en ai déjà parlé... il y a un bon moment déjà.
Les "Vaches à hublot" ou "Vaches fistulées" :
Non non, ce ne n'est pas une intox !!!!! ICI, ICI & ICI (Pour le dernier lien désactiver AdBlock)Sommes nous vraiment des monstres sans aucune compassion ni empathie et dont l'imagination cruelle est sans limite ?
Je n'ai trouvé aucune information disant que cette pratique avait été interdite.
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Par Pascale MD le 22 Février 2019 à 00:01
Hautes-Pyrénées
Ces photos ont été faites en Août 2018 et étaient restées rangées dans mon disque dur.
Toutefois, j'ai choisi de vous les présenter tant leur couleur rosée sur tout le corps était incongrue.Je garde la tête basse, j'essaie de me faire discrète, mais avouez, pas fastoche !
Pas très nature cette couleur pour des Brebis ;-(
Et en plus avec cette tache sur le bas du dos... je suis bien repérée ;-(Nous on s'en fout, on peut relever la tête, ça se voit presque pas le rose hihihi
Hé, la photographe, fiche moi la paix, tu ne vois pas que je me cache là ???? Pas moyen d'être tranquille !
Dépitée je suis moi ! Allez vas y moque toi, c'est facile ! Mais dis... t'as vu ton allure avec tes fringues ?
Ben oui, déjà tondues, on a pas l'air bien malignes, mais alors en rose et avec nos boucles d'oreilles... je ne vous dis que ça ! Merci hein, merci !!!!!!!!!
Vous entendez, même les vaches derrière, ben elles sont pliées de rire ! Facile de se moquer !
En plus franchement, la nuit en montagne, on se caille maintenant !Puisque c'est comme ça, on s'en va ! Derrière les rochers, on ne nous verra plus, nomého ! Y'en à marre à la fin !
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Par Pascale MD le 6 Février 2019 à 00:01
Certes, les animaux domestiques sont communs, mais chaque fois que j'en croise, quels qu'ils soient, j'ai l'envie de leur rendre hommage
pour ce que nous, humains, leur faisons subir. Tous ces animaux, élevés en masse, et ayant pour unique horizon... l'abattoir (et le plus
souvent de manière terrifiante) ne demandent pourtant, tout comme nous faisons, de profiter de leur existence.
Elles au moins auront la chance de vivre leur vie en quasi-liberté sur les montagnes Pyrénéennes, mais c'est une faible consolation.84 commentaires
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Par Pascale MD le 12 Septembre 2018 à 00:01
Pastoralisme en Hautes-Pyrénées : ICI
Les chiens de protection sont extrêmement rares (voir totalement absents) dans les estives. Par conséquent les troupeaux sont
vulnérables face aux prédateurs... prédateurs qui ne sont pas forcément les loups et pourtant c'est sur eux que nous nous acharnons.
Ci-dessous un témoignage.
Eh oui, NOUS, citoyens français, nous finançons cela triplement avec l'argent public (nos impôts).
Savez-vous qu'en France, nous avons commencé à travailler pour nous à partir du 22 juillet en 2016, du 23 juillet en 2017 ?
Ces dates marquent la "libération du contribuable". En 2017, nous avons trimé 204 jours pour financer les dépenses publiques !
Ce n'est que depuis le 23 juillet que nous pouvons enfin profiter de notre labeur (soit 161 jours) car nous avons "fini" de financer
la sphère publique. Cette date recule régulièrement par l'augmentation des différents impôts et taxes.
Avec la défense, les écoles, les hôpitaux, la santé en général.... (financements indispensables), nous finançons donc également et
grassement, par ces différents prélèvements directs ou indirects, aussi les éleveurs (si certaines subventions sont justifiées, d'autres
en revanche le sont peut être beaucoup moins ou devraient être plus encadrées et contrôlées) et... les chasseurs !
Une première fois par des subventions aux éleveurs pour la protection du bétail (clôtures, acquisition des chiens de protection et
même pour leur nourriture, vaccinations, soins) et cela... sans qu'il y ait le moindre contrôle des frais réels dans ces domaines (ICI) ;
Une seconde fois pour indemniser les éleveurs des attaques "imputées" aux loups (avec le nombre d'attaques indemnisées,
ils ont un sacré appétit nos Loups français si peu nombreux dans notre pays !), et pourtant nous savons, vu l'état des cadavres,
que ces attaques sont le plus souvent celles de chiens errants ou en état de divagation (ICI). En effet, les chiens en divagation
sont responsables de bien plus d'attaques que celles dont les Loups sont réellement responsables, et pourtant, la plupart du
temps, ces chiens ont un propriétaire qui devrait normalement être responsable de leur animal et être assuré !Une telle absence de gestion des dégâts sur le bétail inhérents aux chiens errants n'a-t-elle pas des effets pervers, notamment
celui de sacrifier le Loup en lui faisant endosser plus que son dû ? D'autant que si les Loups s'attaquent aux animaux faibles ou
malades (évitant ainsi la propagation de certaines épidémies), ce n'est pas le cas des chiens qui eux ne font aucune distinction.
En outre, un Loup dans une bergerie (pas trop protégée) ne tuera qu'un animal, un chien fera un massacre. Ce fonctionnement
vis à vis des Loups induit également une totale contradiction des administrations qui ne sont pas trop regardantes sur l'origine
des attaques, avec celle d'assurer la sauvegarde des espèces protégées (Loup, Ours, Lynx et sous peu il y aura aussi les
Vautours puisque les éleveurs leur attribue également bon nombre d'animaux tués). Ces animaux sauvages sont devenus
les boucs-émissaires des chiens qui ont été, soit abandonnés, soit lâchés dans la nature et laissés sans surveillance.
Une troisième fois aux chasseurs pour leur matériel de chasse dont les visées nocturnes pour leur faciliter les abattages (il est
très difficile d'avoir des chiffres officiels, le lobby de la chasse en France est très protégé). Une petite idée ? (ICI, ICI et encore ICI
avec ce lien transmis par Katia, et pas mal non plus je dois dire)Elle n'est pas belle la vie ? Oui, mais ça dépend pour qui !!!!
Cet acharnement sur la faune sauvage est générale en France, partout où il y a du bétail en estives.
Et je ne parle pas de l'acharnement envers les Renards, Blaireaux... qui pourtant ont une grande utilité dans l'équilibre
et la régulation naturelle des espèces. Mais abattre des prédateurs pour un chasseur, ce doit être le pied non ??????Quelques informations ICI
10 vérités et contre-vérités sur le Loup ICI
Alors, si vous souhaitez que vive le pastoralisme mais que les Loups aient eux aussi le droit de vivre...
Pétition à signer ICI97 commentaires
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Par Pascale MD le 11 Avril 2017 à 00:01
C'était avant la floraison...
Les débroussailleurs, à savoir deux troupeaux de 800 animaux chacun, viennent faire un nettoyage naturel et
déposer un peu d'engrais, non moins naturel, dans les abricotiers.
Pour surveiller tout ce petit monde, deux bergers chacun accompagné de deux Borders Collie.
Bel exemple de coopération entre éleveurs et agriculteurs.« Le bonheur est la plus grande des conquêtes, celle qu’on fait contre le destin qui nous est imposé.»
Albert Camus
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Par Pascale MD le 21 Mars 2017 à 00:01
Hautes-Pyrénées
Ben quoi, vous n'avez jamais vu une vache assise sur son popotin ?
Ben voilà qui est fait, et je suis super bien comme ça !Le courage, c'est de comprendre sa propre vie...
Le courage, c'est d'aimer la vie et de regarder la mort d'un regard tranquille...
Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel.Jean Jaurès
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Par Pascale MD le 16 Janvier 2017 à 00:01
Oh que c'est bon la sieste en toute liberté...
Celui là vient juste de sortir du ventre de sa Maman, et hop, la première tétée alors que le placenta n'a pas encore touché terre.
Un autre agneau s'est promené avec le placenta à cheval sur son dos pendant une bonne demi-heure.Ben oui, je sais, on vient d'être tondues, on a l'air malin hein !
Un peu plus tard, Bébé est tout propre et fait sa première sieste.
J'ai comme un truc qui me dérange sur la langue !
Et pour finir, un Berger et son Border Collie au travail dans les estives.
Photos loin d'être bonnes, mais ils étaient très très loin et les clichés sont fortement croppés.« Mieux vaut être optimiste et se tromper que pessimiste et avoir raison. »
Jack Penn.
Je partage généralement cet opinion dans ma manière de vivre, mais pour l'avenir de la planète,
je crains d'être "tombée" dans le pessimisme avec raison ;-(76 commentaires
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Par Pascale MD le 19 Juin 2016 à 00:01
Plaidoyer pour les animaux de Matthieu Ricard
Comme l'ecrit Wulstan Fletcher dans son Introduction aux Larmes du Bodhisattva :
L'objectif n'est pas de réprimer le désir de viande ou de mettre fin à l'usage de produits animaux par un acte volontaire draconien,
mais d'engendrer une compassion sincère et une sensibilité authentique à la souffrance des animaux pour que le désir de les
exploiter et de les manger disparaisse naturellement. (...) C'est, avant tout, en sensibilisant notre esprit et non en l'engourdissant
par des arguments spécieux que nous progresserons.
En suivant cette voie, nous atteindrons le point où nos besoins physiques et nos choix de vie ne seront plus source de terreur
et de douleur pour les êtres vivants, quels qu'ils soient.41 commentaires
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Par Pascale MD le 23 Avril 2016 à 00:01
Ce sont ces adorables Chèvres qui nous offrent le si bon Pélardon.
"Nos doutes sont des traîtres, et nous privent de ce que nous pourrions souvent gagner de bon, parce que nous avons peur d’essayer."
William Shakespeare
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Par Pascale MD le 28 Février 2016 à 00:01
L'Art de la Méditation de Matthieu Ricard
Contemplons simplement la douleur. Même si sa présence est lancinante, demandons-nous quelle est sa couleur,
sa forme ou toute autre caractéristique immuable. On s'aperçoit que ses contours s'estompent à mesure qu'on tente de la cerner.
En fin de compte, on reconnaît qu'il y a, derrière la douleur, une présence consciente, celle-là même qui se trouve à la source
de toute sensation et de toute pensée. Détendons notre esprit et essayons de laisser la douleur reposer dans la
pleine conscience, libre de toute construction mentale. Cette attitude nous permettra de ne plus en être la victime passive,
mais, peu à peu, de faire face et de remédier à la dévastation qu'elle provoque dans notre esprit.30 commentaires
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Par Pascale MD le 19 Janvier 2016 à 00:01
Je me trouvait en hauteur par rapport à ces chèvres sauvages, ce qui explique les photos en plongée,
chose que je ne fait que rarement.Cette chèvre à eu soit une malformation de naissance à l'antérieur gauche, soit une mauvaise
consolidation d'une fracture (peut-être une chute dans les montagnes escarpées des Pyrénées).
En tout état de cause, elle se débrouillait parfaitement bien et n'était pas isolée des autres chèvres.“L'homme appartient à ces espèces d'animaux qui, une fois blessés, peuvent devenir particulièrement féroces.”
Gao Xingjian / La Montagne de l'âme
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Par Pascale MD le 17 Janvier 2016 à 00:01
"Tout ce verbiage sur la dignité, la compassion, la culture ou la morale semble ridicule lorsqu’il sort de la bouche même de ceux
qui tuent des créatures innocentes, pourchassent des renards que leurs chiens ont épuisés, ou même encouragent l’existence
des combats de taureaux et des abattoirs. Toutes ces explications, selon lesquelles la nature est cruelle et donc nous sommes
en droit d’être cruels, sont hypocrites. Rien ne prouve que l’homme soit plus important qu’un papillon ou qu’une vache.Je considère le fait d’être devenu végétarien comme la plus grande réussite de ma vie. Je ne prétends pas sauver beaucoup
d’animaux de l’abattoir, mais mon refus de manger de la viande est une protestation contre la cruauté…Personnellement, je ne crois pas qu'il puisse y avoir de paix dans ce monde tant que les animaux seront traités comme ils le sont aujourd’hui".
Isaac Bashevis Singer
(ceci correspond exactement à ce que je pense, et si lui ou l'un de ses frères est tué pour être mangé,
ce ne sera certainement pas de mon fait !)33 commentaires
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Par Pascale MD le 6 Novembre 2015 à 00:01
Terre d'Oiseaux - Gironde
Il était de coutume, il y a quelques années, de faire porter aux mauvais élèves un bonnet d'âne.
Mais contrairement à ce que beaucoup pensent, le fait de faire porter ce bonnet ne signifiait pas que l'âne était un animal bête !
C'était justement parce que l'âne était intelligent qu'on faisait porter un bonnet d'âne à un mauvais élève, pour qu'il puisse acquérir
l'intelligence de l'animal !
Dans la mythologie, on dit même qu'Apollon, déçu que Midas ait nommé Pan meilleur musicien, se vengea en lui faisant pousser
des oreilles d'âne.
Seul le coiffeur de Midas connaissait le secret, et ne pouvant le divulguer, creusa un trou dans la terre en répétant :
''Midas a des oreilles d'âne''.
Les roseaux poussèrent ensuite, et répétèrent à tous vents : ''Midas a des oreilles d'âne ! ''.
Les oreilles d'âne furent alors perçues comme une honte, et quand des années plus tard le fait de porter un bonnet d'âne
était une punition, on considéra cela aussi comme une honte : celui qui portait le bonnet d'âne était un cancre !54 commentaires
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Par Pascale MD le 11 Octobre 2015 à 00:01
Aveyron (12)
Je ne sais pas vous, mais cette Vache me donne vraiment l'impression d'être en train de pleurer...
Lui a t'on retiré son veau....?
A t'elle conscience de ce qu'implique son état de Vache... à viande ?
Un petit coup d'anthropomorphisme me dira t'on, mais après tout... les animaux ne sont pas dénués de sentiments et d'émotions.
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Par Pascale MD le 8 Octobre 2014 à 12:00
Finistère (29)
Le mouton d'Ouessant est une race ovine, qui, comme son nom l'indique est originaire de l'île d'Ouessant dans le Finistère. Il a disparu de cette île durant le xxe siècle suite à l'arrivée de moutons continentaux qui se sont métissés aux animaux locaux. La race a pu être sauvée grâce à quelques animaux retrouvés dans des propriétés sur le continent, et n'est aujourd'hui plus menacée.
Le mouton d'Ouessant est un petit mouton peu productif et peu prolifique. Il est toutefois rustique, et il se montre intéressant comme animal d'agrément pour entretenir les parcs et jardins.
Le Mouton d'Ouessant est une variété insulaire et archaïsante du Mouton des Landes de Bretagne (plus petite taille, cornes plus fortes, queue plus courte...). On ne connaît pas avec précision l'origine de la race. Toutefois, elle semble implantée depuis très longtemps dans sa région d'origine, des documents de 1750 indiquant la présence de moutons sur l'île d'Ouessant et les monts d'Arrée en Bretagne. Le cheptel continental disparaît progressivement au cours du xxe siècle à la suite de métissage avec d'autres races bretonnes. En 1911, l'Encyclopædia Britannica indique que l'île d'Ouessant est peuplée de petits moutons noirs. C'est également à cette époque que la race acquiert son nom définitif de mouton d'Ouessant.
Les importations de moutons blancs, dont la laine est mieux adaptée au marché (le marché de la laine s'est effondré à partir de 1850 avec l'importation des laines d'Australie), sur l'île au début du xxe siècle engendrent divers métissages qui font peu à peu disparaître la race d'origine. À partir de 1976, le sauvetage de la race est entrepris par un groupe d'éleveurs passionnés menés par Paul Abbé. Ils s'appuient sur des troupeaux aux caractéristiques proches de celui que l'on pouvait trouver sur l'île à l'origine. Ces animaux, conservés sur le continent comme animal d'agrément dans de grandes propriétés comme celle de la famille de Goulaine à Saint-Étienne-de-Corcoué en Loire-Atlantique, sont récupérés par des éleveurs qui forment le Groupement des éleveurs de mouton d'Ouessant (GEMO). Sous leur impulsion, les effectifs passent de 486 à plusieurs milliers entre 1977 et 2007. La race n'est actuellement plus menacée.
Le mouton d'Ouessant a le dos droit, la poitrine profonde et le bassin et le garrot larges. Ses membres sont fins, et se terminent par un onglon sombre. Sa laine est la plupart du temps noire, mais il existe aussi des individus bruns ou blancs, leur peau restant noire et leur couleur étant unie. La couleur est toujours unie. Ils sont acceptés par le standard de la race. La toison recouvre le front et une partie des joues. Elle est semi-fermée, avec des mèches de bonne taille. La laine est de finesse moyenne. La tête est fine et régulière et présente un chanfrein droit. Elle porte de petits oreilles fines et dressées. Les mâles ont des cornes torsadées qui s'enroulent autour des oreilles.
C'est la plus petite race ovine française, avec une taille au garrot de 0,40 à 0,46 m pour les femelles et 0,42 à 0,49 m pour les mâles, pour un poids de 11 à 16 kg pour les brebis et 13 à 20 kg pour les béliers.
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